Le Comité national SEPA s’inquiète des risques liés à une migration à SEPA trop tardive et appelle l’ensemble des acteurs à migrer le plus tôt possible avant le 1er février 2014
Le Comité national SEPA s’inquiète des risques liés à une migration à SEPA trop tardive et appelle l’ensemble des acteurs à migrer le plus tôt possible avant le 1er février 2014.
Le Comité national SEPA s’est réuni le 3 avril 2013 en vue d’examiner l’état d’avancement de la migration à SEPA en France.
A moins de 10 mois de la date butoir, la migration française vers les moyens de paiement SEPA doit s’accélérer
Le Comité national SEPA s’inquiète de la faible montée en charge des moyens de paiement SEPA : la migration au virement SEPA a peu progressé depuis la fin 2012 et la migration au prélèvement SEPA n’est à ce jour toujours pas engagée. Le Comité national SEPA alerte une nouvelle fois les utilisateurs professionnels du virement et du prélèvement sur les risques de blocage qu’implique une migration tardive dans le contexte d’arrêt définitif des virements et prélèvements au format national le 1er février 2014.
Les efforts de communication du Comité national SEPA doivent aider les acteurs économiques français à organiser et planifier leur migration
Le Comité national SEPA a organisé au cours des six derniers mois une trentaine de réunions d’information sur SEPA qui ont permis de sensibiliser un grand nombre d’acteurs de terrain à leurs obligations dans le cadre de la migration vers les moyens de paiement SEPA. Le Comité national SEPA appelle aujourd’hui toutes les parties prenantes (entreprises, associations professionnelles, banques, experts comptables, chambres de commerce, prestataires de services, …) à amplifier les efforts déjà mis en oeuvre afin de faire du passage à SEPA un succès.