Fin de la migration aux moyens de paiements SEPA, J-365, dans un an serez-vous prêts ?
Conformément au règlement européen N° 260/2012, les nouveaux instruments de paiement européens remplaceront définitivement leurs équivalents nationaux au plus tard le 1er février 2014. Et c’est parce que ce règlement a été adopté par le Parlement européen et le Conseil le 14 mars 2012, qu’il ne pourra y avoir de prolongation en France.
Pensez le contraire, c’est prendre le risque de ne plus pouvoir transmettre de fichiers de virements domestiques fournisseurs, mais aussi de salaires ! Faudra-t-il repasser aux chèques…Mais plus grave encore, plus de possibilité d’encaisser les ventes faites par prélèvements domestiques…En ces temps de tension accrue sur la trésorerie, n’est-ce pas un risque inconsidéré ?
Parce qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire, il faut des maintenant initier sa migration. D’autant plus que les banques s’attendent à une migration en masse pour 2013, ce qui impliquera moins de disponibilités de la part de vos interlocuteurs bancaires, mais aussi des éditeurs, des intégrateurs de solutions de gestion. Se faire accompagner par des consultants compétents, sera d’autant plus difficile.
Ne négligeons pas les bénéfices que pourront obtenir les sociétés du passage au SEPA :
- Bénéficier de réductions sur les coûts les transferts étrangers européens, les virements SEPA étant tarifés au même prix que celui des virements domestiques, quel que soit le montant de l’opération.
- Négocier des tarifs bancaires à la baisse grâce à une concurrence accrue entre les banques européennes.
- Véhiculer davantage d’informations pour faciliter les opérations de rapprochements bancaires.
- Accélérer les règlements, avec les délais de paiement raccourcis et des procédures de traitement simplifiées, améliorera la trésorerie des entreprises.
Migration aux moyens de paiements, SEPA trop tard mais c’est maintenant !